Grâce à son moteur à poussée variable, Tianwen-1 se pose enfin sur le sol martien, absorbant l’impact final à l’aide de ses quatre pieds amortisseurs. Perché sur la plateforme de son atterrisseur, le rover déploie alors ses caméras et une antenne grand gain, avant d’ouvrir quatre panneaux solaires latéraux.
Dans cette configuration, la silhouette du rover chinois n’est pas sans rappeler celle de la mission Spirit, débarquée sur Mars il y a déjà 18 ans. Une fois les données synchronisées avec le centre de contrôle de la mission chinoise, l’astromobile dont le nom est encore à déterminer, utilisera une petite rampe pour quitter sa plateforme et commencer à explorer la planète rouge pour une mission initiale de trois mois.